Firenze
Firenze
Déjà parcouru l’an dernier, mais toujours autant de monde, et toujours aussi chaud !
Un Duomo et un baptistère imposants.
La porte du Baptistère
Le Duomo
Le Palazzo Vecchio
3 heures d’attente avant d’entrer dans la galerie des offices ( réservez votre billet avant, vous aurez une file qui va plus vite !! )
Un des 2 corridor du dernier étage dans le musée des offices
Un des nombreux plafonds représentant les disciplines de la connaissance
Beaucoup de triptyques
Et ces deux là qui ne s’entendent pas tout ( d’après Guilhem ! )
Un dôme de nacre pour un petit cabinet sans prétentions …
Encore un triptyque parmi les dizaines exposés
Quelques estampes ( celle-ci, vue de près est impressionnante de précision )
La vue sur les maisons qui bordent l’Arno, depuis le dernier étage
Dans la série des monuments connus, le Ponte Vecchio
Des tableaux de peintres connus ou moins connus
De Guilandaio – Ghirlandaio Sacra Conversazione – 1450
De Filippino Lippi ou de Domenico Ghirlandaio – Dans la collection du Cardinal Leopoldo de’ Medici depuis environ 1650.
De Filippino Lippi – Vierge à l’enfant et 2 anges – 1465
Les toits de Florence avec le Duomo, le plus grand construit pour l’époque ( http://www.nationalgeographic.fr/10099-le-formidable-secret-du-dome-de-florence )
Sans transition … un satyr !
Et toujours dans transition, De Michel-Ange – Saint famille à la tribune – 1506
La Vierge, une jeune femme musculeuse, exécute un mouvement compliqué de torsion pour prendre l’Enfant que Joseph installe sur son épaule. Cette pose est très significative du style de l’artiste puisqu’elle permet une torsion des membres qui fait saillir les muscles du corps. Cet effet apparaît clairement dans les sculptures de Michel-Ange.
La luminosité des couleurs, les effets d’éclairage soulignent le caractère sacré des personnages.
Les nus à l’arrière-plan, dont les poses et les gestes sont tous imités des sculptures classiques, symbolisent l’humanité païenne, le monde d’avant la venue du Christ. Sur la droite, le petit saint Jean indique le passage, au travers du baptême, de l’âge païen à l’ère chrétienne.
C’est peut-être Michel-Ange lui-même qui a sculpté le cadre avec les armoiries des Strozzi (trois demi-lunes ainsi que la tête du Christ et les prophètes, sybils ou anges.
Le tableau a été restauré en 1985.
De Botticelli – l’Adoration des mages – 1475
De Sandro Botticelli – Le Printemps – 1478/1482
D’un peintre inconnu – Ecole de Fontainebleau – Portrait de Gabrielle d’Estrée et de sa soeur
Une vue sur le beffroi du palais depuis le dernier étage du musée
Quelqu’un … qui se gratte les pieds et probablement, pousse les croutes sous le canapé !
De Raphaël- Portrait du pape Julius II – 1511 ( une des 3 copies, les 2 autres étant à la “National Gallery” à Londres, et au “Palais Pitti” à Florence )
De Titien – La vénus d’Urbin – 1538
De Gerrit van Honthorst ( ou Gérard de la Nuit (Gherardo della Notte) ) – Scéne de fête avec un jeune couple marié
De Gerrit van Honthorst – La nativité – 1620
Sur la route du retour, passage par le quartier probablement chic, et belle vue sur Florence